Paracelse, dit Armel Guerne, fut un « solitaire crieur », un de ces hommes, qui, comme Léon Bloy, mais autrement que lui, n’ont cessé de vilipender leurs contemporains.
Par les Cahiers (1957-1972), par les Entretiens, par les lettres et bien sûr par l'œuvre elle-même, nous savons que l'idée de Dieu n'a jamais lâché Cioran.
Laissez-vous dire une bonne fois, Messieurs mes contemporains, que ce n’est pas une sinécure d’être un artiste, un homme de vérité, dans l’époque que vous nous avez faite !
Écrire sur une écriture, quelle qu’elle soit, sa matière vive, un corps de texte indissociable de son âme particulière et du monde tel qu’il lui parle, lui donnant sa parole, ce serait impossible.